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Du bon usage des contes en psychanalyse. Introduction à la deuxième partie

Introduction à la 2ème partie et chapitre 8

Ce texte, extrait de « L’Essence de la Mythologie » est le fruit d’une nouvelle traduction à partir de l’original allemand, faite par Grégoire Lacaze et à partir duquel a travaillé un groupe de l’institut. Son usage est réservé aux étudiants de l’institut ainsi qu’aux membres de la SFPA et sa diffusion n’est pas autorisée.

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Deux remarques préliminaires : 1ère Le travail de l’année portait sur « Processus d’analyse. Fin d’analyse. »
Les intervenants précédents ayant ciblé, avec acuité, la Fin d’analyse, j’ai eu envie d’insister sur le Processus (tout au moins, sur un aspect du processus).
2ème Au détour d’une lecture d’Hemingway, je découvre le récit d’une de ses traversées atlantiques, sur un bateau allant vers l’Amérique, où Freud et ses compagnons ont pris place (sûrement ce bateau qui apportait la peste …) Et Hemingway croque les partenaires de Freud : une petite phrase pour chacun ; celle qui concerne Jung me frappe, assez pour que je la retrouve aujourd’hui, et vous la livre. C’était «il y avait untel, untel… et le grand Jung qui rit tout le temps ».