C.G. Jung
Articles de Webmaster
Deuil de l’analyse – Deuil de l’analyste
« L’analyse n’est pas un processus sans fin, mais peut,
si l’analyste possède la compétence et la patience requises
être amenée jusqu’à une conclusion naturelle. »
Sandòr Ferenczi [[Internationale Zeichrift für Psychoanalyse, vol XIV, 1928. Cité par Freud in Résultats, Idées, Problèmes II, « L’analyse avec fin et l’analyse sans fin « , Paris, PUF, 1998, p. 262. ]]
La psychanalyse jungienne
La psychanalyse, à l’évidence, n’est plus ce qu’elle était.
En témoignent les récentes publications les plus importantes qui se proposent de présenter et d’explorer de l’intérieur la configuration des problématiques en la matière. Si le Vocabulaire de la Psychanalyse de Jean Laplanche et Jean-Bertrand Pontalis s’en tient, pour l’essentiel de son corpus et dans la plupart de ses analyses, aux textes de Freud, le Dictionnaire de la Psychanalyse d’Elisabeth Roudinesco et Michel Plon dénombre, présente et discute six grands « courants » ou grandes « composantes » du mouvement psychanalytique – l’annafreudisme, le kleinisme, l’Ego Psychology, les Indépendants, la Self Psychology et le lacanisme – , tandis que le tout récent Dictionnaire International de la Psychanalyse d’Alain de Mijolla, pour sa part, élargit le champ et ouvre également ses colonnes à des analystes qui se réclament de Carl Gustav Jung, d’Alfred Adler, de Sandor Ferenczi ou de Françoise Dolto, et qui ont été chargés de présenter eux-mêmes dans cet ouvrage les concepts, les personnalités marquantes, les œuvres et les institutions du courant dont ils relèvent [[ J. Laplanche et J.-B. Pontalis, Vocabulaire de la psychanalyse, Paris, PUF, 1967, E. Roudinesco et M. Plon, Dictionnaire de la psychanalyse, Paris, Fayard, 1997, not. à l’article « Freudisme », p. 361-363, Dictionnaire international de la psychanalyse, A. de Mijolla éd., Paris, Calmann-Lévy, 2002, avec 25 entrées pour la « psychologie analytique » jungienne.]].
Fin d’analyse et processus psychique : Paradoxe ou couple d’opposés?
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L’ombre blanche
Le séminaire des thérapeutes d’enfants s’est donné pour thème pour l’année 2005-2006 La question de l’ombre dans la thérapie de l’enfant. A cette occasion, il nous est apparu utile de repartir d’une vision large de la question dans laquelle s’inscrit l’exposé qui va suivre.