C.G. Jung, Symboles oniriques du processus d’individuation, Les séminaires de Bailey Island et de New York, Editions de la Fontaine de Pierre, 2021

symboles oniriquesAttention ! Nouvel inédit de Jung, dans une traduction de Michel et Monique Bacchetta, consacré à des séminaires de 1936 et 1937 centrés sur les images de mandala et leur évolution, en s’appuyant sur du matériel onirique de W. Pauli.

Présentation de l’éditeur :
Les séminaires américains de Jung sont centrés sur la présence de mandalas dans les rêves, les imaginations actives et les représentations visuelles. L’inconscient produit cette figure, le mandala, dont le nom en sanscrit signifie cercle, pour nous permettre de dépasser conflits et tensions intérieurs, pour parvenir à l’unification, à la réconciliation des opposés en nous. Alors, dit Jung, « nous devenons ce que nous sommes, nous rassemblons tout en nous, et notamment les complexités et les contradictions qui nous constituent nécessairement ». C’est l’individuation. Les rêves et les visions qui servent de base à cette grande étude sur les mandalas et sur les forces créatrices de l’inconscient ont été reçus par le physicien Wolfgang Pauli, prix Nobel de physique en 1945. En analyse avec Jung, Pauli l’avait autorisé à présenter ses rêves et leurs interprétations. Jung, tout en restant discret et en préservant l’anonymat de son patient, retrace son itinéraire intérieur, spécifiant que les rêves et les visions rapportés dans ces conférences ont une portée générale. Dans cet inédit de Jung, la forme du séminaire et le langage parlé facilitent l’accès à la pensée de l’auteur. Au cours de l’analyse des rêves et des visions de Pauli, Jung aborde de nombreux thèmes qui lui sont chers, comme le mandala, symbole de totalité. Cet ouvrage permet de voir comment l’évolution intérieure d’un patient s’opère grâce aux images intérieures (rêves et fantasmes) et aux interactions avec le thérapeute.

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