06. Les types psychologiques

Volume 6

000094 – Les types psychologiques. Introduction.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 3-7), (§1-7), & Jung, TYPES PSYCHOLOGIQUES, Genève, Librairie de l’Université Georg 1977, (p.5-10)

A partir de l’observation clinique de patients, deux grands types de personnalité sont distingués – l’introverti et l’extraverti. L’introduction de l’ouvrage comprend la présentation de la théorie, la description de la méthodologie à suivre pour comprendre les types psychologiques, ainsi qu’un résumé de leur définition, de leurs caractéristiques et de leurs corollaires. Pour la personnalité introvertie, les processus subjectifs et psychologiques constituent le centre d’intérêt : toute l’énergie vitale est tournée vers le sujet lui-même, l’objet étant relégué à un niveau inférieur (déprécié) par rapport au sujet. La personnalité extravertie est quant à elle, attirée prioritairement par l’objet : la valeur suprême réside dans l’objet et le sujet subordonne sa propre subjectivité à l’objet. La conséquence psychologique de ces deux attitudes se traduit par deux orientations radicalement différentes : l’une considère tout en terme d’événement objectif (l’extraverti), l’autre envisage tout en fonction de sa propre position (l’introverti). A côté de cette classification assez large, existe une deuxième série de types psychologiques déterminés par quatre fonctions psychologiques fondamentales : la pensée, le sentiment, la sensation et l’intuition, que l’on peut trouver chez l’introverti comme chez l’extraverti. A partir de là, les types psychologiques sont étudiés sous les deux angles : celui de l’introversion (sujet) et de l’extraversion (objet), d’une part et celui des quatre fonctions fondamentales, d’autre part.
1 référence.

000095 – Le problème des types dans l’histoire de la pensée antique et médiévale.
1. Psychologie de l’antiquité. Les gnostiques. Tertullien et Origène.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 8-20), (§8-30), & Jung, TYPES PSYCHOLOGIQUES, Genève, Librairie de l’Université Georg 1977, (p.11-21)

Plus on remonte dans l’histoire plus l’attitude collective prédomine sur l’individu. Les types psychologiques postulés par la philosophie Gnostique sont représentés par Tertullien et Origène, et l’évolution des rapports entre le Christianisme et la pensée et le savoir sont discutés. La philosophie Gnostique distinguait trois types correspondant à trois fonctions psychologiques fondamentales : le pneumatique pourrait correspondre à la pensée, le psychique au sentiment, et le hylique à la sensation. Dans le Gnosticisme, le sentiment est dévalorisé au profit de la pensée, à l’inverse du Christianisme. Tertullien, fanatique qui créa le latin d’église est décrit comme un exemple classique d’introversion, qui fit le sacrifice de son intellect. Origène, autre figure marquante du Christianisme, véritable érudit, est présenté comme l’exemple de l’extraverti ; en s’émasculant, il sacrifia sensation et sentiment au profit de l’intellect ou du monde objectif.
3 références

000096 – Le problème des types dans l’histoire de la pensée antique et médiévale.
2. Les controverses théologiques de l’Eglise antique.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 20-23), (§31-34), & Jung, TYPES PSYCHOLOGIQUES, Genève, Librairie de l’Université Georg 1977, (p.22-25)

Les premiers schismes religieux issus de tentatives pour définir la nature du Christ sont envisagés comme des illustrations de l’opposition entre les types psychologiques extraverti et introverti. L’opposition entre Ebionites et Docètes, le débat arien sur l’homoousie et l’homoiousie, tout comme la querelle entre Monophysites et Diophysites, révèlent une importante scission psychologique sous-jacente à ces querelles. Pour les uns la valeur ultime/suprême résidait dans la perception sensorielle, tandis que pour les autres l’essentiel résidait hors de l’humain, dans l’abstrait. Ce conflit a ressurgi au Vème siècle dans la controverse entre Pélagiens et Augustiniens. Pelagius et Celestius défendaient la valeur humaine face à la position héritée de Saint Augustin, pour qui l’homme dévalorisé ne pouvait trouver de salut hors l’Eglise en tant qu’institution divine. Nestorius et Cyrille, par leur définition respective de Marie en tant que mère du Christ ou mère de Dieu, illustrent également l’opposition entre le sensoriel et l’abstrait.

000097 – Le problème des types dans l’histoire de la pensée antique et médiévale.
3. Le problème de la transsubstantiation.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 23-26), (§35-39), & Jung, TYPES PSYCHOLOGIQUES, Genève, Librairie de l’Université Georg 1977, (p.25-28)

000098 – Le problème des types dans l’histoire de la pensée antique et médiévale.
4. Nominalisme et réalisme.
a.Le problème des universaux dans l’antiquité

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 26-38), (§40-55), & Jung, TYPES PSYCHOLOGIQUES, Genève, Librairie de l’Université Georg 1977, (p.29-38)

La définition, l’historique, les caractéristiques et l’importance du nomalisme et du réalisme sont étudiés. Les nomalistes soutenaient que les universaux – la beauté, la bonté, l’animal, l’homme, etc. – ne sont rien d’autre que des noms ou des mots ; pour les réalistes, les universaux existent en eux-mêmes, ante rem, avant la chose. L’ origine de l’opposition entre ces deux philosophies remonte au conflit qui opposait Platoniciens et Mégariens. Gromperz a décrit ce contraste fondamental en termes d’inhérence et de prédication. En prenant comme exemple le processus qui nous fait passer de la perception du « chaud » à l’identification de la notion d’énergie, le mécanisme de l’abstraction – passage de la perception « réelle » au concept, est démontré. Chez le primitif, la réalité de la perception sensorielle est telle, que l’imago, dont elle est l’empreinte psychique, réapparaît telle une hallucination. L’homme moderne ayant, quant à lui, ôté tout caractère sensible à l’image psychique et pense de manière abstraite, on ne retrouve cette réalité de la perception sensorielle que dans les rêves ou les visions mystiques. Chacun de ces exemples corrobore la théorie de l’existence a priori du prédicat, dans la mesure où elle a toujours été présente dans l’âme humaine.
6 références

000099 – Le problème des types dans l’histoire de la pensée antique et médiévale.
4. Nominalisme et réalisme.
b. Le problème des universaux dans la scolastique.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 38-46), (§56-67), & Jung, TYPES PSYCHOLOGIQUES, Genève, Librairie de l’Université Georg 1977, (p.39-47)

La question de la définition de la nature des universaux et leur relation avec l’idée de Dieu est passée en revue. Porphyre pose le problème de la manière suivante : soit les universaux sont substantiels, corporels et existent dans l’objet, soit ils sont intellectuels, incorporels et sont distincts de l’objet. D’un côté, on trouve le point de vue platonicien considérant que l’idée (des universaux) préexiste à la chose, universalia ante rem, et de l’autre, les nomalistes pour qui les concepts génériques ne sont que des mots, universalia post rem. Entre les deux, l’attitude réaliste d’Aristote soutient que forme et matière coexistent, universalia in re. Au Moyen Age, cette controverse devint l’essence de la scolastique. Jean Roscelin représentait le point de vue nomaliste, face à l’attitude réaliste d’Anselme de Canterbury. Pour celui-ci, la preuve qu’il donne de l’existence de Dieu, si importante au plan psychologique est appelée la preuve « ontologique » : l’idée même de Dieu prouve son existence. La psychologie se doit de maintenir distinctes ces deux approches, car elles influencent encore l’opposition actuelle entre idéalisme et réalisme, entre spiritualisme et matérialisme. Les arguments d’autres personnages tenants de l’une ou l’autre position sont analysés. Dans ce contexte, l’argumentation de Kant allait devenir définitive et concluante. En accord avec les arguments kantiens, l’idée de Dieu est abordée sous l’angle de la psychologie analytique : elle coïncide avec un complexe idéationnel particulier qui concentre la plus haute somme de libido ou énergie psychique.
5 références.

000100 – Le problème des types dans l’histoire de la pensée antique et médiévale.
4. Nominalisme et réalisme.
c. Essai de conciliation d’Abélard.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 47-64), (§68-95), & Jung, TYPES PSYCHOLOGIQUES, Genève, Librairie de l’Université Georg 1977, (p.48-64)

L’analyse de la tentative d’Abélard de concilier en une position intermédiaire le nomalisme et le réalisme, débouche sur une discussion du rôle de la psychologie et de la fantaisie créatrice dans la recherche d’une conciliation entre l’idée et l’objet, et conclut sur une discussion des théories de Freud et d’Adler. Au nomalisme, Abélard emprunte l’idée que les universaux sont des mots, des conventions intellectuelles exprimées par le langage. Au réalisme, il emprunte la notion que les « genera » (genres) et les « species » (espèces) sont des ensembles de faits et d’objets individuels réunis par simple analogie. Sa position intermédiaire, le conceptualisme, en soutenant que les objets individuels sont perçus et classés en genres et espèces par analogie, réduit leur multiplicité absolue – pour les nominalistes – en une relative unité. Abstraction et empathie sont présentées comme les fonctions de base du conceptualiste. Si la psychologie avait existé du temps d’Abélard, sa position aurait été celle du « esse in anima » (être dans l’âme). Cependant, comme sa conciliation visait à réduire les différences au niveau de l’expression logique-intellectuelle, elle était insatisatisfaisante et manquait de clarté ; en effet, le problème, d’ordre psychologique, requiert la prise en compte de la réalité concrète. Pour sa part, la psychologie, dans la mesure où elle admet l’existence de l’idée et de l’objet dans la psyché, parvient à une véritable conciliation. Le processus de conciliation et le rôle de la fantaisie créatrice dans ce processus, sont décrits. La fantaisie créatrice est définie comme l’expression la plus évidente de la psyché, l’activité créatrice qui apporte les réponses, le seul mécanisme qui unit introversion et extraversion. Certaines des difficultés qui empêchent de reconnaître le rôle de la fantaisie sont étudiés. L’influence du christianisme qui, en réprimant l’inconcient de l’individu, paralyse l’activité créatrice, est analysée, ainsi que le rôle de la science. La psychologie, en tant que science abstraite, a également tendance à exclure la fantaisie. Seule la psychologie pratique traîte la conciliation dans sa totalité. Freud considérait la fantaisie comme un processus causal, élémentaire ; pour lui les problèmes de la psyché résultaient du refoulement de désirs inconciliables. Pour Adler, le fait de croire en la supériorité de l’ego interdit à l’homme d’être subordonné à l’objet. Par conséquent, la théorie de Freud était extravertie, celle d’Adler introvertie. L’activité créatrice est considérée comme la clé de la synthèse entre ces mécanismes opposés. (5 références).

000101 – Le problème des types dans l’histoire de la pensée antique et médiévale.
5. La contreverse de la communion entre Luther et Zwingli.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 64-66), (§96-100), & Jung, TYPES PSYCHOLOGIQUES, Genève, Librairie de l’Université Georg 1977, (p.65-67)

000102 – Les idées de Schiller sur le problème des types.
1. Lettres sur l’éducation esthétique de l’homme.
a.Des fonctions supérieures et inférieures.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 67-96), (101-151), & Jung, TYPES PSYCHOLOGIQUES, Genève, Librairie de l’Université Georg 1977, (p.5-10)

La distinction consciente que Frédéric Schiller introduit dans les attitudes typiques entre fonctions supérieures et inférieures, sert de base à une analyse du conflit caractéristique du type de pensée introvertie, qui s’appuie sur les lettres de Schiller sur l’éducation esthétique de l’homme, « Uber die asthetische Erziehung des Menschen » (1795). Pour Schiller l’œuvre de civilisation (collective) était à l’origine de cette différenciation des fonctions, opposant l’importance du développement de l’individu dans l’antiquité, à la civilisation collective prônée par le christianisme ; l’état actuel du développement de l’individu est analysé par rapport aux fonctions collectives. Schiller admettait que certaines fonctions avaient été réprimées (fonctions inférieures) et sa crainte qu’un conflit intérieur n’apparaisse chez l’individu libéré, sert de point de départ à une analyse des effets d’une fonction « malformée », opérant inconsciemment et de manière autonome sur la conscience. Comme Rousseau, Schiller surmonta cette peur en reliant son conflit intérieur à la scène contemporaine. Tous deux cherchèrent une solution dans l’histoire ancienne. Les inconvénients de la démarche rétrospective sont décrits et un début de solution est proposé, qui résiderait dans l’acceptation des fonctions inférieures, ce qui leur fournirait une issue et leur permettrait de devenir actives. La manière dont les fonctions inférieures « remontent » à la surface est décrite en détail. L’approche du problème par Schiller est celle d’un introverti, la démarche de Goethe relève de l’extraversion. Cette position s’appuie sur des exemples tirés de la manière dont Schiller définit Dieu et sur une citation dans laquelle Schiller exprime l’attitude consciente de l’introverti : « Extérioriser tout ce qui est à l’intérieur, donner un contenu à tout ce qui est à l’extérieur ». (12 références)

000103 – Les idées de Schiller sur le problème des types.
1. Lettres sur l’éducation esthétique de l’homme.
b. Des instincts fondamentaux.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 96-129), (§152-212), & Jung, TYPES PSYCHOLOGIQUES, Genève, Librairie de l’Université Georg 1977, (p.5-10)

Schiller identifie deux fonctions de base sentiment-sensation et pensée, il fait état de leur opposition et de la nécessité d’une troisième fonction médiatrice : l’instinct de jeu. Les idées de Schiller sont étudiées à la lumière de la théorie du rôle de la fantaisie créatrice et du symbole dans la résolution du conflit entre les deux instincts. Les théories de Schiller reflètent sa propre personnalité et sa forme de pensée introverties. Néanmoins, Schiller avait conscience de la pluralité de la réalité psychologique : eg. les deux fonctions de base peuvent se subtituer l’une à l’autre, il peut se produire une identification avec une fonction différenciée; la sensibilité comme la spiritualité se battent pour exister et les symboles émergent de la mise en jeu simultanée des deux instincts. Schiller a également discerné l’existence d’un noyau particulier dans lequel les deux instincts coexistent, sans qu’il y ait pour autant identification avec aucun des deux. Ces découvertes de Schiller servent de tremplin pour une description de la fonction transcendante du symbole, le rôle de l’inconscient dans la fantaisie créatrice et les mécanismes par lesquels les instincts de base sont susceptibles d’être désamorcés. La « condition esthétique » de Schiller est comparée à l’état produit par certaines pratiques comme le yoga, le tapas ou le brahmanisme et autres. La solution de Schiller est analysée et ses limites interprétées comme le reflet de son propre idéal inconscient. Hommage est rendu à Schiller pour sa compréhension intuitive de ses observations et pour avoir compris que la position intermédiaire produit quelque chose de positif : le symbole. La conclusion met l’accent sur l’importance du symbole qui réunit des éléments antithétiques par nature, conscient-inconscient, réel-irréel, psychique-physique.

000104 – Les idées de Schiller sur le problème des types.
2. Le « traité de la poésie naïve et sentimentale »
a. L’attitude naïve.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 130-132), (§213-216).

Schiller définit le poète naïf comme celui qui « est agi par la nature et la sensation et se contente de copier la réalité ». Les caractéristiques du poète naïf tel que le décrit Schiller, sont étudiées sous l’angle des types psychologiques. Le poète naïf est déterminé par l’objet, dans la mesure où sa relation à l’objet est une introjection, une identification a priori fondée sur une analogie entre l’objet et un contenu inconscient. De ce fait, le poète prête sa fonction expressive à l’objet, dont la représentation se fait en lui. En conclusion, le poète naïf de Schiller est extraverti, puisque la primauté revient à l’objet.

000105 – Les idées de Schiller sur le problème des types.
2. Le « traité de la poésie naïve et sentimentale »
b. L’attitude sentimentale.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 132-133), (§217-219).

Suite du commentaire de Schiller sur les poètes avec le poète sentimental, dont les caractéristiques sont analysées comme relevant de l’attitude introvertie. L’attitude de réflexion et d’abstraction du poète sentimental – face à l’objet – est conditionnée une séparation a priori d’avec l’objet. D’où la dualité du poète sentimental dont la créativité puise à deux sources, l’objet ou sa perception et lui-même. Il se place au-dessus de l’objet et lui confère valeur ou qualité. Son attitude est donc introvertie. Toutefois, les attitudes introvertie et extravertie n’excluent pas la compréhension des types de poésie. Des éléments supplémentaires sont apportés concernant les fonctions sensation et intuition, afin de préciser les types introverti et extraverti. Le poète naïf se caractérise par une prépondérance de la sensation, le poète sentimental par une prépondérance de l’intuition. (1 référence)

000106 – Les idées de Schiller sur le problème des types.
2. Le « traité de la poésie naïve et sentimentale »
c. L’idéaliste et le réaliste.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 133-135), (§220-222).

La répartition des poètes en types naïf et sentimental amène Schiller à distinguer deux types psychologiques fondamentaux qui sont dans son système, l’équivalent des types introverti et extraverti. En extrayant le génie créatif de chacun d’eux, Schiller en arrive à isoler leurs deux réciproques : le type réaliste et le type idéaliste. Le premier, dérivé du poète naïf, dépendra du témoignage de ses sens, assujetti à un objet resté autonome à l’intérieur du sujet ; le second, issu du poète sentimental, restera détaché de l’objet et sera mû par un esprit de spéculation poussé jusqu’à l’absolu. L’analyse des observations de Schiller s’arrête là, car ensuite ses considérations ont trait à des caractéristiques connues du type réaliste ou idéaliste. (1 référence)

000107 – L’Apollinien et le Dyonisien.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 136-146), (§223-242).

000108 – le problème des types dans le caractère humain.
1. Généralités sur les types de Jordan.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 147-152), (§243-254).

Les deux types caratérologiques proposés par Furneaux Jordan dans « Character as Seen in Body and Parentage » sont étudiés. La typologie de Jordan témoigne de sa perception intuitive des types introverti et extraverti. Son analyse des types est compliquée par l’introduction d’un facteur « activité », ce qui introduit un côté plus « passionné » mais moins actif chez l’introverti et moins passionné mais plus actif chez l’extraverti ; toutefois, l’intérêt du travail de Jordan réside dans sa caractérisation des types en termes d’affectivité. La nature réfléchie, contemplative de l’introverti est compensée par une vie inconsciente archaïque instinctuelle et sensorielle ; la nature active, tournée vers l’extérieur de l’extraverti est compensée par une pensée et une sensibilité archaïques inconscientes. Ainsi, le comportement de l’introverti est influencé par ses passions et l’extraverti par sa vie intérieure. La comparaison de l’analyse intuitive de Jordan et de l’analyse rationnelle montre que les deux aboutissent aux mêmes conclusions. La catégorie intermédiaire de Jordan est analogue aux types sensation et intuition. (1 référence)

000109 – le problème des types dans le caractère humain.
2. Détails critiques sur les types de Jordan.
a. La femme introvertie.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 152-156), (§256-259).

Un portrait de la femme introvertie est dressé à partir de l’analyse que Jordan fait de son affectivité et de la description qu’il donne de sa vie intérieure consciente et de sa relation avec cette affectivité. Le point de vue de Jordan insiste un peu trop sur la tendance de la femme introvertie à l’aversion profonde, l’amour, la compassion, la jalousie, l’exaltation et la familiarité. Cette restriction est compensée par une analyse de ses capacités de logique et d’analyse. Sa vie intellectuelle bien ordonnée est perçue comme une défense contre une vie affective élémentaire, confuse et ingouvernable. En conséquence, l’esprit de la femme introvertie est plus fiable que son affectivité indomptée.

000110 – le problème des types dans le caractère humain.
2. Détails critiques sur les types de Jordan.
b. La femme extravertie.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 156-160), (§260-264).

La description de la femme extravertie – ou moins passionnée – par Jordan, est rapportée avec des commentaires sur la manière dont pensée et affectivité se manifestent. Jordan décrit la femme extravertie comme « sans idées, agitée, dépourvue d’émotions et irréprochable ». En accord avec Jordan, la tendance à l’incohérence et à la critique inconséquente est interprétée comme une absence de réflexion autonome. Cependant, il semble que Jordan mésestime l’affectivité de la femme extravertie. L’accent est donc mis sur la différentiation de l’affectivité : bien que superficielle, elle est orientée socialement, favorisant de ce fait la vie de la communauté et l’intérêt de la société. Aucun des deux types n’est supérieur à l’autre, l’introverti comme l’extraverti étant nécessaire à l’individu et à la société. (1 référence).

000111 – le problème des types dans le caractère humain.
2. Détails critiques sur les types de Jordan.
c. L’homme extraverti.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 160-163), (§265-268).

La description de l’homme extraverti selon Jordan est présentée avec une critique de son approche d’intellectuel, jugée inadéquate pour évaluer l’homme extraverti. L’image qu’il en donne est une caricature de l’homme pragmatique (concret). Cela tient vraisemblablement à la difficulté qu’il a, en tant que penseur, à saisir la valeur de la relation vivante et réciproque de l’extraverti avec l’objet. Le penseur introverti voit l’ombre projetée par l’inconscient de l’homme positif. Bien que son appréciation de l’attitude inconsciente de l’extraverti soit juste, elle néglige son attitude consciente. Les psychologues sont appelés à bien différencier l’homme conscient de l’homme inconscient, s’ils veulent parvenir à une véritable compréhension de l’homme et éviter de le réduire à son seul arrière-plan inconscient. (1 référence).

000112 – le problème des types dans le caractère humain.
2. Détails critiques sur les types de Jordan.
d. L’homme introverti.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 163-165), (§269-274).

La brève description faite par Jordan de l’homme introverti – ou plus passionné – est accompagnée d’une explication de ses insuffisances. La brièveté de la description et l’absence totale de mention de la passion attribuée à ce type, s’expliquent en admettant l’hypothèse d’un Jordan lui-même introverti et de ce fait incapable de percevoir et d’expliquer son propre inconscient. Ceci mène à la conclusion suivante : ni l’extraverti ni l’introverti ne sont capables de décrire leur propre inconscient de manière adéquate, pas plus qu’ils ne peuvent expliquer le rapprot de l’autre à la réalité. On notera l’importance de l’observation de Jordan à propos de l’authenticité de l’amour du plaisir chez l’introverti, car elle éclaire la nature profonde de l’introverti. Les commentaires sur les travaux de Jordan s’arrêtent là en raison des erreurs induites par la notion de « facteur activité », mais tout en créditant Jordan d’avoir donné une description appropriée du caractère des types émotionnels. (1 référence)

000113 – Le problème des types dans la poésie. Carl Spitteler : Prométhée et Epimétée.
1. Préliminaire à l’étude des types d’après Spitteler.

n Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 166-173), (§275-287).

La lutte menée par les tendances introvertie et extravertie pour la possession du moi au cours du développement de l’individu, est illustrée par le travail poétique de Carl Spitteler. Prométhée, exemple d’introversion, se soumet à sa fonction psychique interne. Il perçoit l’âme comme un objet séparé du moi individuel, rejette la tendance à s’adapter au réel et en conséquence, endure moult souffrances. Cette soumission témoigne de la nature diabolique de l’âme en ce qu’elle reflète tous les engrammes ou traces des fonctions de la psyché humaine tels qu’ils apparaissent dans l’inconscient depuis des temps immémoriaux. Pour sa part, Epiméthée l’extraverti, abandonnant son âme, est happé par les désirs et les aspirations du monde et, avec sa conscience comme seul rempart contre une reddition totale à l’objet, se soumet à la société. Il réalise les désirs de tous avec autosatisfaction et assurance, atteignant ainsi le succès. La confrontation entre Prométhée et Epiméthée illustre le conflit de l’homme Epiméthéen d’apparence et Prométhéen en son for intérieur. (3 références)

000114 – Le problème des types dans la poésie. Carl Spitteler : Prométhée et Epimétée.
2. Comparaison du Prométhée de Spitteler avec celui de Gœthe.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 173-188), (§288-317).

La comparaison du Prométhée de Goethe avec celui de Spitteler éclaire le combat entre fonctions différenciée et indifférenciée, qu’il s’agisse d’introversion ou d’extraversion. Les tentatives de solution telles qu’observées chez Schiller, Spitteler et Goethe, sont étudiées. C’est avec le Faust de Goethe que l’on saisira le mieux les étapes nécessaires à la réconciliation. Le Prométhée de Spitteler, introverti, retiré dans les profondeurs de son âme, représente le principe psychologique de compensation. L’intermède de Pandore décrit intégralement le processus compensatoire ; le bijou de Pandore devient le symbole du travail de rédemption de Prométhée. Epiméthée, avec son attitude rationnelle, ne peut comprendre la signification du bijou, le travail de l’inconscient, qui se trouve ainsi perdu. Chez Spitteler, cet épisode marque le début de la chute d’Epiméthée. L’attitude collective indifférenciée étouffe les plus hautes valeurs humaines, obligeant Prométhée à se mettre au service de l’inconscient. Le Prométhée de Goethe est un artiste créatif, qui travaille dans le monde tourné vers l’extérieur, extraverti, tandis que son Epiméthée est l’introverti mélancolique. Prométhée représente la fonction collective, Epiméthée, la fonction pensée et sentiment indifférenciée. L’âme – Pandore – est associée à la fonction indifférenciée, produisant un égocentrisme pathologique. La solution proposée par Goethe est le mariage de Phileros, la tendance érotique compulsive inconsciente de Prométhée, avec Epimeleia (le souci), fille d’Epiméthée. Prométhée et Epiméthée sont donc réconciliés grâce à la reconnaissance du fait que l’activité de Prométhée n’est rien d’autre que de l’érotisme refoulé et le côté mélancolique d’Epiméthée, un souci rationnel visant à maîtriser la productivité incontrôlée de Prométhée. La mythologie antique sert à illustrer le conflit qui émerge à chaque changement de comportement qu’il concerne l’individu ou l’histoire du monde : face à cet obstacle qui se dresse, la libido se retire vers l’inconscient (régression) où un analogue primitif de la situation consciente apparaît. Le choix d’une figure antique est classique au 19ème siècle, en réaction contre la scission chrétienne de l’homme en deux moitiés, l’une précieuse, l’autre méprisable. Mais cette renaissance régressive du paganisme restera lettre morte, l’antiquité s’effaçant au profit du Moyen Age : le « Faust » de Goethe, qui intègre l’héritage chrétien de l’époque, apporte une meilleure solution au conflit. (6 références)

000115 – Le problème des types dans la poésie. Carl Spitteler : Prométhée et Epimétée.
3. Signification du symbole d’union.
a. Conception brahmanique du problème des opposés.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 189-199), (§318-330).

La signification du symbolisme religieux utilisé par Spitteler dans la résolution du conflit entre les types psychologiques opposés est discutée et mise en rapport avec la résolution brahmanique. Les solutions religieuses de Spitteler, Nietzsche, Schopenhauer, et Goethe expriment le travail de l’inconscient collectif : l’image de la divinité est le symbole de l’inconscient tandis que le renouvellement de la divinité est étroitement lié à l’opposition des types et des fonctions. Le renouvellement de la divinité est une image primordiale, universelle, de transformation du comportement. Son point de départ psychologique est une scission de la libido (Prométhée et Epiméthée), l’inconscient, troisième terme entre les deux opposés, est projeté en tant que dieu médiateur ou messie. Dans les religions occidentales, ce porteur de vie est perçu comme le Dieu ou le Sauveur qui met un terme à la division, en son temps et selon sa volonté. Un certain nombre de citations en sanscrit indiquent que, dans les religions orientales, cette position intermédiaire rédemptrice peut être atteinte par un processus conscient. La solution brahmanique et sa signification sont expliquées : la participation à la psyché est refusée aux opposés extérieurs, émotionnels et intellectuels, afin de libérer le soi pour une nouvelle vie dans Brahma. Ainsi, Brahma est à la fois l’état irrationnel d’union des opposés et le processus qui mène à cet état. Cette union irrationnelle est exprimée dans les Upanishads par des symboles de la libido. (19 références).

000116 – Le problème des types dans la poésie. Carl Spitteler : Prométhée et Epimétée.
3. Signification du symbole d’union.
b. Conception brahmanique du symbole d’union.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 199-208), (§331-347).

Des exemples de symboles brahmaniques servent de base à une discussion sur le rôle de la libido dans la création des symboles, le phénomène psychologique de personnification et les effets de l’unilatéralité de l’introversion ou de l’extraversion. Les symboles du Brahman, généralement des paires d’opposés, montrent la conception orientale de Brahman : à la fois entité divine et état psychologique. Ces symboles de pouvoir dynamique ou créateur sont liés au concept de libido et dans cette optique, la méthode de méditation Yogi vise à produire une concentration de la libido en la soustrayant aux deux fonctions d’extraversion et d’introversion. Extraits du Rig Veda et du Çapatha Brahmanam, la Vâch (parole) et le Manas (entendement) sont des symboles représentant l’appariement des opposés, interprétés comme les principes des fonctions psychologiques d’extraversion et d’introversion. Leur opposition prend la forme de monstres dévorants – personnification – indiquant la dissociation qui résulte de la scission entre le moi et d’autres composantes de la personnalité (complexes). Cette forme de dissociation est courante chez ceux qui s’absorbent trop dans l’une de leurs fonctions psychiques, comme chez le Faust de Goethe. La conclusion aborde la nature démoniaque de la libido chez les sujets pris inconsciemment dans une attitude extravertie ou introvertie unilatérale. (18 références)

000117 – Le problème des types dans la poésie. Carl Spitteler : Prométhée et Epimétée.
3. Signification du symbole d’union.
c. Le symbole d’union comme principe de régulation dynamique.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 208-213), (§348-357).

000118 – Le problème des types dans la poésie. Carl Spitteler : Prométhée et Epimétée. 3. Signification du symbole d’union. d. Le symbole d’union dans la philosophie chinoise.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 214-221), (§358-374).

000119 – Le problème des types dans la poésie. Carl Spitteler : Prométhée et Epimétée.
4. Relativité du symbole.
a. Le service de la Dame et le service de l’âme.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 221-240), (§375-406).

000120 – Le problème des types dans la poésie. Carl Spitteler : Prométhée et Epimétée.
4. Relativité du symbole.
b. Relativité de l’idée de Dieu chez Maître Eckhart.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 241-258), (§407-433).

000121 – Le problème des types dans la poésie. Carl Spitteler : Prométhée et Epimétée.
5. Nature du symbole d’union chez Spitteler.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 258-273), (§434-460).

000122 – Le problème des types en psychopathologie.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 273-288), (§461-483).

000123 – Le problème des types dans l’esthétique.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 289-299), (§484-504).

000124 – Le problème des types dans la philosophie moderne.
1. Les types de James.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 300-307), (§505-517).

000125- Le problème des types dans la philosophie moderne.
2. Les paires d’opposés caractéristiques dans les types de James.
a. rationnalisme / empirisme.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 307-311), (§518-522).

000126- Le problème des types dans la philosophie moderne.
2. Les paires d’opposés caractéristiques dans les types de James.
b. intellectualisme / sensationalisme.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 311-312), (§223).

000127- Le problème des types dans la philosophie moderne.
2. Les paires d’opposés caractéristiques dans les types de James.
c. idéalisme / matérialisme.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 312-313), (§524-525).

000128- Le problème des types dans la philosophie moderne.
2. Les paires d’opposés caractéristiques dans les types de James.
d. optimisme / pessimisme. In

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 313-314), (§526-527).

000129- Le problème des types dans la philosophie moderne.
2. Les paires d’opposés caractéristiques dans les types de James.
e. religiosité / irreligiosité.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 314-315), (§528-530).

000130- Le problème des types dans la philosophie moderne.
2. Les paires d’opposés caractéristiques dans les types de James.
f. indéterminisme / déterminisme.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 316-318), (§531-535).

000131- Le problème des types dans la philosophie moderne.
2. Les paires d’opposés caractéristiques dans les types de James.
g. monisme / pluralisme. h. dogmatisme / scepticisme.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 318-319), (§536-537).

000132- Le problème des types dans la philosophie moderne. Critique générale de la typolgie de James.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 319-321), (§538-541).

000133- Le problème des types dans la biographie.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 322-329), (§542-555).

000134- Description générale des types.
1. Introduction.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 330-333), (§556-561).

000135- Description générale des types.
2. Le type extraverti.
a. Attitude générale du conscient.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 333-337), (§562-567).

000136- Description générale des types.
2. Le type extraverti.
b. Attitude de l’inconscient.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 337-341), (§568-576).

000137- Description générale des types.
2. Le type extraverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude extravertie. Pensée. Le type pensée extravertie.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 342-354), (§577-594).

000138- Description générale des types.
2. Le type extraverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude extravertie. sentiment. Le type sentiment extravertie.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 354-359), (§595-600).

000139- Description générale des types.
2. Le type extraverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude extravertie. Résumé des types rationels extravertis.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 359-361), (§601-603).

000140- Description générale des types.
2. Le type extraverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude extravertie. sensation. Le type sensation extravertie.

. In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 362-366), (§604-609).

000141- Description générale des types.
2. Le type extraverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude extravertie. intuition. Le type intuition extravertie.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 366-370), (§610-615).

000142- Description générale des types.
2. Le type extraverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude extravertie. Résumé des types irrationels extravertis.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 370-373), (§616-619).

000143- Description générale des types.
3. Le type introverti.
a. Attitude générale du conscient.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 373-378), (§620-625).

000144- Description générale des types.
3. Le type introverti.
b. Attitude de l’inconscient.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 378-380), (§626-627).

000145- Description générale des types.
3. Le type introverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude introvertie. Pensée. Le type pensée introvertie.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 380-387), (§628-637).

000146- Description générale des types.
3. Le type introverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude introvertie. sentiment. Le type sentiment introverti.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 387-391), (§638-643).

000147- Description générale des types.
3. Le type introverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude introvertie. Résumé des types rationels introvertis.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 391-393), (§644-646).

000148- Description générale des types.
3. Le type introverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude introvertie. sensation. Le type sensation introvertie.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 393-398), (§647-654).

000149- Description générale des types.
3. Le type introverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude introvertie. intuition. Le type intuition introvertie.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 398-403), (§655-663).

000150- Description générale des types.
3. Le type introverti.
c. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude introverti. Résumé des types irrationels introvertis.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 403-405), (§664-665).

000151- Description générale des types.
3. Le type introverti.
d. Particularité des fonctions psychologiques fondamentales dans l’attitude introverti. Fonction principale et fonction secondaire.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 405-407), (§666-671).

000152- Les types psychologiques. Définitions.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 408-486), (§672-844).

000153- Les types psychologiques. Epilogue.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 487-495), (§845-857).

000154- Appendice : Quatre articles sur la typologie.
1. Contribution à l’étude des types psychologiques.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 497-509), (§858-882).

000155- Appendice : Quatre articles sur la typologie.
2. Les types psychologiques.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 510-523), (§883-914)

000156- Appendice : Quatre articles sur la typologie.
3. Théorie psychologique des types.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 524-541), (§915-959).

000157- Appendice : Quatre articles sur la typologie.
4. Typologie psychologique.

In Jung, Collected Works of C. G. Jung, Vol.6. 2nd ed.Princeton University Press, 1971. 608 p. (p. 542-555), (§960-987).

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