Monographies

Ce livre est un événement. Dès sa première parution en anglais, il y a quatre ans, il s’est révélé indispensable pour tous ceux qui attendaient un tel ouvrage, aussi bien documenté et impartial que possible. L’auteur, Deirdre Bair, est une universitaire américaine à laquelle on doit déjà des biographies très remarquées de Samuel Beckett, de Simone de Beauvoir et d’Anaïs Nin.
J’ai rédigé le compte-rendu qu’on va lire à la demande du Journal of Analytical Psychology, qui l’a publié dans son volume 49, n° 5, de novembre 2004. Je l’ai laissé inchangé pour cette parution en français – en indiquant cette fois, bien sûr, les pages de l’édition française, en y faisant à peine une ou deux retouches de détail, et en y ajoutant simplement quelques notes.

Spring En pleine période électorale, Spring, la plus ancienne des revues jungiennes vient de publier un très intéressant numéro sur la politique et ses soubassements : la guerre, la violence, le fondamentalisme, etc. Avec une contribution de Viviane Thibaudier « The French and the Revolution syndrome » (Les français et le syndrome de la révolution), mais aussi…

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Avec les contributions de Christian Gaillard, Dr Axel Capriles, Michel Cazenave, Beverley Zabriskie.

Les auteurs : Brigitte Allain-Dupré, Wilma Bosio Blotto, Marisa D’Arrigo, Pier Claudio Devescovi, Marie-Laure Grivet, Suzanne Krakowiak, Giuseppe Maffei, Gianni Nagliero, Daniela Testa, Bernadette Vandenbroucke, Caterina Vezzoli, Florence Wasmuth

Nadia Neri Cet ouvrage se présente comme une biographie des femmes qui, pour une raison ou une autre, ont gravité autour de C. G. Jung : Toni Wolff, Emma Jung, Aniela Jaffé, Maire Louise von Franz, Barbara Hannah, Liliane Frey Rohn, Jolande Jacobi, Rivkah Schärf Kluger, Olga Fröebe Kapteyn. Ainsi l’auteur fait revivre le contexte…

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« L’homme est capable de perdre, il est capable de deuil, il est capable de sacrifice, c’est-à-dire qu’en lui, dans son psychisme,la perte peut se transformer en énergie, la perte peut se transformer en existence, le deuil peut se transformer en goût de vivre. »

Comme Freud, Jung a toujours pensé que le rêve était « la voie royale d’accès à l’inconscient ». Mais, à l’opposé de Freud, il tient que le rêve n’a pas besoin d’être décrypté pour en faire venir le sens au jour :

Le Centre Gaston Bachelard de recherches sur l’imaginaire et la rationalité vient de publier le n° 30 des Cahiers sur l’image, le symbole et le mythe .
Regards croisés sur les thématiques de Nise da Silveira et de Gaston Bachelard.

Un livre passionnant où Jung voisine avec Averroès, F. Bacon, Fénelon, Hartmann, H. Arendt, R. Girard, P. Ricoeur et bien d’autres.

Les Sept Sermons aux morts, datés de 1916, sont un document de la vie intérieure de Carl Gustav Jung. Ils révèlent un autre Jung que celui qui apparaît dans son oeuvre théorique, et pourtant ce dernier est déjà présent tout entier en eux. On y retrouve bien les deux visages de sa personnalité : le thérapeute et le théoricien.